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Notice d'autorité

Bishop Porphyry Uspenskij (EPU)

  • ERC337895-EPU
  • Personne
  • 1804-1885

The beginning of the Russian presence in Jerusalem is connected with the name of the prominent
ecclesiastic, the first chief of the Russian mission in Palestine, Archimandrite (later Bishop) Porphyry Uspenskij. Porphyry (his secular name was Constantine Alexandrovich Uspenskij, 1804-83) was born in the family of a church lector in the provincial town of Kostroma. After finishing the local church school (1813-18), he studied in the Kostroma Theological Seminary (1818-24), and the Saint Petersburg Theological Academy (1825-29). After graduating from the Academy, he brought his monastic vows and was ordained deacon, and later priest. He started his career as a teacher in the Richelieu lyceum in Odessa. In 1838 he was appointed rector to the Kherson Theological Seminary and in 1840 priest to the Russian mission in Vienna. On November 14, 1842 the Russian Holy Synod delegated Porphyry to Jerusalem to gather information about the life of the Orthodox Christians in Palestine and Syria. His first stay in Jerusalem lasted from December 20, 1843 to August 7, 1844. On July 31, 1847 he was appointed chief of the first Russian ecclesiastical mission to Jerusalem, where he arrived in mid February 1848 and he stayed till the Crimean war (May 3, 1854). After the war Porphyry was not appointed head of the mission any more, and in 1860 he visited Jerusalem a third, and last time. During the years of Porphyry’s stay in Jerusalem he was not only busy with church and political activities, but also with intensive research work on the archeology and history of Palestine, Syria and Egypt, for which he gathered a huge collection of manuscripts and books. No other Russian representative in the Christian East of that time had a better knowledge of the life conditions of the non-Muslim population of Jerusalem.

Saint Apostolic Synod of Etchmiadzin (ESLS)

  • ERC337895-ESLS
  • Collectivité
  • 1837-1923

To be completed.
The Supreme Spiritual Council is the highest executive body of the Armenian Church and is presided over by the Catholicos of All Armenians. The members of the Council can be elected by the National Ecclesiastical Assembly or appointed by the Catholicos of All Armenians. The Catholicos of All Armenians, Gevorg V. Soorenian established the Supreme Spiritual Council on January 1, 1924, to replace the Synod of Bishops.

François (Paul en religion) Dreyfus, o.p.

  • ERC337895-FD
  • Personne
  • 1918-1999

Né à Mulhouse dans une famille juive peu pratiquante, François Dreyfus prépare le concours d’entrée à l’Ecole Polytechnique, où il est admis en 1935. A sa sortie, en 1939, il est mobilisé, puis fait prisonnier. C’est en captivité qu’il relit la Bible, reçoit une catéchèse catholique et peut être baptisé, en 1941. C’est aussi en prison qu’il fait la connaissance des célèbres dominicains Vicaire et Congar. Cela explique sans doute qu’à la fin de la guerre, François Dreyfus ait fait le choix d’entrer dans l’ordre dominicain. Il prend l’habit en 1947 au couvent Saint-Jacques à Paris et reçoit le nom de Paul.

D’abord pressenti pour accompagner le P. Bruno Hussar dans la fondation de la Maison Saint-Isaïe à Jérusalem, le P. Dreyfus est finalement affecté à l’École biblique, où l’on avait besoin d’un professeur de Nouveau Testament. Habitant Jérusalem Est, le P. Dreyfus doit porter le faux nom de Trévoux pendant plusieurs années. De retour au Saulchoir en 1957, il y achève sa thèse et enseigne le Nouveau Testament pendant dix ans.
Ce n’est qu’ensuite qu’il retrouve l’EBAF, chargé des recensions pour la Revue biblique ; son domaine devint alors la théologie biblique. Il ouvrit très largement ses champs de recherche, jusqu’à la parution, en 1984, de son livre best-seller Jésus savait-il qu’il était Dieu ?

Paralysé par une attaque en 1990, il partit en convalescence chez les frères de Saint-Jean, à Rimont, où il mourut en décembre 1999.

Publications
• "La doctrine du reste d’Israël chez le prophète Isaïe", RSPT 39 (1955), p. 361-386.
• "La primauté de Pierre à la lumière de l’Ancien Testament", Istina 2 (1955), p. 335-346.
• "Le thème de l’héritage dans l’Ancien Testament", RSPT 42 (1958), p. 3-49.
• "L’argument scripturaire de Jésus en faveur de la résurrection des morts (Marc 11:26-27)",
RB 66 (1959), p. 213-224.
• "Maintenant la foi, l’espérance et la charité demeurent toutes les trois (1 Cor 13:13)", dans Studiorum Paulinorum Congressus Internationalis Catholicus 1961 (Romae: PIB, 1963), p. 403-412.
• "L’inspiration de la Septante. Quelques difficultés à surmonter", RSPT 49 (1965), p. 210-220.
• "L’évangile (Lc 10,23-27): ’Qui est mon prochain?’", Assemblées du Seigneur 66 (1965), p. 32-49.
• "La valeur existentielle de l’Ancien Testament", Concilium 30 (1965), p. 35-43.
• "Exégèse en Sorbonne, exégèse en Église", RB 83 (1976), p. 321-359.
• "L’actualisation à l’intérieur de la Bible", RB 83 (1976), p. 161-202.
• "Le passé et le présent d’Israël (Rom 9:1-5; 11:1-24)", Die Israelfrage nach Röm 9-11 (Monographische Reihe von Benedictina, 3; Rom: Abtei S. Paul vor den Mauern, 1977), p. 131-192.
• "L’actualisation de l’Écriture: I. Du texte à la vie", RB 86 (1979), p. 5-58.
• "L’actualisation de l’Écriture: II. L’action de l’Esprit", RB 86 (1979), p. 161-193.
• "L’actualisation de l’Écriture: III. La place de la tradition", RB 86 (1979), p. 321-384.
• "Pour la louange de sa gloire (Ep 1,12.14). L’origine vétérotestamentaire de la formule"
Paul de Tarse. Apôtre de notre temps (Série monographique de Benedictina ; ed. Lorenzo de Lorenzi; Rome: Abbaye de St-Paul h.l.m., 1979), p. 233-348.
• "’L’Araméen voulait tuer mon père’: L’actualisation de Dt 26,4 dans la tradition juive et la tradition chrétienne", De la Tôrah au Messie. Mélanges Henri Cazelles (ed. M. Carrez et alii; Paris:
Desclée, 1981), p. 147-161.
• "’The scales are even’ (Tanhumah, Ki Tissa, 34)", Tarbiz 52 (1982), p. 139-142 (en hébreu).
• Jésus savait-il qu’il était Dieu (Paris: Cerf, 1984).
= Gesù sapeva d’essere Dio? (Torino: Paoline, 1985).
= Sabía Jesús que era Dios? (Coyoacán: Universidad Ibero-Americana, 1987).
= Jesus sabia que era Deus (São Paulo: Loyola, 1987).
= Did Jesus know he was God? (Chicago: Franciscan Herald Press, 1989).
= Czy Jezus wiedzial, ze jest Bogiem? (Posnan: W drodze, 1995).
= Vedel Jezis, ze je Buh? (Praha: Krystal o.p., 1998).
• "La condescendance divine (synkatabasis) comme principe herméneutique de l’Ancien Testament dans la tradition juive et dans la tradition chrétienne", Congress Volume Salamanca 1983 (SuppVT 36; Leiden: Brill, 1985), p. 96-107.
= "Divine Condescendence (synkatabasis) as a Hermeneutic Principle of the Old
Testament in Jewish and Christian Tradition", Immanuel 19 (1984), p. 74-86.
• "Reste d’Israël", Dictionnaire de la Bible. Supplément X (Paris: Letouzey et Ané, 1985) col. 321-351.

Félix-Marie Abel, o.p. (FMA)

  • ERC337895-FMA
  • Personne
  • 1878-1953

L’un des maîtres de la génération fondatrice de l’École fut Félix- Marie Abel, o.p., né à Saint-Uze, dans la Drôme, en 1878. Il arriva comme novice en décembre 1897, et dès que M.-J. Lagrange eut repéré ses aptitudes exceptionnelles, il fut décidé qu’il resterait à Jérusalem. Il fut rapidement connu pour sa maîtrise des sources grecques (textes et inscriptions), pour l’histoire et la géographie de Palestine. Il rédigea la partie historique des études archéologiques de Louis-Hugues Vincent sur Jérusalem, Bethléem et Hébron. Il composa un gros commentaire de 1- 2 Maccabées (1949), livres qu’il traduisit aussi pour l’édition en fascicule de la Bible de Jérusalem. Pour la seconde édition de la Bible de Jérusalem, son travail a été repris dans une large mesure par Jean Starcky. Abel avait aussi été chargé de la traduction du Livre de Josué, qu’il était en train de commenter également au moment de sa mort.

Abel a assuré les cours de géographie de la Palestine à l’École biblique pendant près de 50 ans. En 1932, il effectua avec Vincent des fouilles sur le site de l’Emmaüs byzantine. En 1940, il fut nommé consulteur de la Commission biblique pontificale.

Ses trois ouvrages les plus durables restent : Grammaire du Grec biblique suivie d’un choix de papyrus, coll. Études bibliques (1927), Géographie de la Palestine (I. 1933; II. 1938), et Histoire de la Palestine depuis la conquête d’Alexandre jusqu’à l’invasion arabe (1952). On sait moins que ce savant était un aquarelliste accompli, qui écrivit un guide illustré de Terre Sainte.

Il meurt à l’École biblique à la veille de l’Annonciation 1953.

Publications (bibliographie sélective)

  • Grammaire du Grec biblique suivie d’un choix de papyrus, coll. Études bibliques, Paris : Gabalda, 1927
  • Une croisière autour de la Mer Morte, Paris, 1911
  • Les livres des Maccabées (pour la Bible de Jérusalem), Paris : Cerf, 1951
  • Le livre de Josué (pour la Bible de Jérusalem), Paris : Cerf, 1950
  • Avec L.-H. Vincent, Bethléem : le sanctuaire de la Nativité, Paris : Gabalda, 1914
  • Avec L.-H. Vincent, Jérusalem : recherches de topographie, d’archéologie et d’histoire, (2 tomes), Paris : Gabalda : 1912 et 1954-1956
  • Géographie de la Palestine (2 tomes), Paris : Lecoffre, 1933 et 1938
  • L’Histoire de la Palestine depuis la conquête d’Alexandre jusqu’à l’invasion arabe, tome I et II. , 1952
  • Avec L.-H. Vincent, Emmaüs, sa basilique et son histoire, 1932.

François (Raymond en religion) Refoulé, o.p.

  • ERC337895-FRE
  • Personne
  • 1922-1988

Né à Orléans, François fait des études de droit et d’histoire avant d’entrer au grand séminaire de sa ville. Il n’entre dans l’ordre dominicain qu’en 1945, après deux ans de S.T.O. en Allemagne. Il est ordonné prêtre en 1950. Après un apostolat en Suède, il est assigné aux Éditions du Cerf, en 1964, pour diriger des collections théologiques et bibliques. Avec Georges Casalis, il organise le projet de TOB à partir de 1965. Il fut directeur du Cerf de 1975 à 1979. Il effectua un mandat comme directeur de l’École biblique de 1982 à 1984, date à laquelle il dut reprendre la direction du Cerf pour un an.

Armenian National Delegation (HAP)

  • ERC337895-HAP
  • Collectivité
  • 1912-1923

The Armenian National Delegation was established in 1912 in order to defend the interests of Armenians, at a time when the Great Powers were advocating again reforms in favour of the Christian population of the Ottoman Empire’s Eastern provinces, decades after the first diplomatic initiative undertaken at the Berlin Congress in 1878. Boghos Nubar was appointed head of the delegation by the Catholicos Kevork V, and by the end of 1912, had settled in Paris. Thereafter he deployed intense diplomatic activity, especially with Allied governments during the war and in the negotiation of the Treaty of Sèvres (1919), in which he participated alongside the delegation of the short-lived Armenian Republic. The archives of the Armenian National Delegation headed by Boghos Nubar remained at the Nubar Library before being partly transferred to the National Archives in Yerevan in the 1980s. The Nubar Library still retains important documentation consisting of the correspondence of the delegation between 1913 and 1921, and a vast press review collated by Aram Andonian, then secretary of the National Delegation, covering the period between 1919 and 1923.

Ministry of Foreign Affairs of the Ottoman Empire (HN)

  • ERC337895-HN
  • Collectivité
  • 1836-1922

The Ministry of Foreign Affairs (Ottoman Turkish: Hariciye Nezâreti) was the department of the Imperial Government responsible for the foreign relations of the Ottoman Empire, from its establishment in 1836 to its abolition in 1922. Before 1836, foreign relations were managed by the Reis ül-Küttab, who was replaced by a Western-style ministry as part of the Tanzimat modernization reforms. The successor of the Ottoman Ministry of Foreign Affairs is the Ministry of Foreign Affairs of the Turkish Republic.

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